Bonjour ,

Nous vous informons de la programmation d’une soirée ciné-débat   co-organisée par l'association Toile d'essai   et l'Unité de Soins Palliatifs du Finistère Sud, basée au Centre Hospitalier de Douarnenez ce mercredi 8 Décembre, à 20 h 45 au cinéma Le Club  à Douarnenez. Vous trouverez ci-joint  un dossier sur le film et des critiques ci-dessous. La projection du film sera suivie d'un temps d'échange  avec des médecins et des soignants  de l'Unité de Soins Palliatifs

Cordialement

Pour l’équipe  de l’USP,

Hubert Thieurmel - Cadre de santé

 

De son vivant


Film Français de Emmanuelle Bercot avec Catherine Deneuve, Benoît Magimel, Gabriel Sara
Durée : 1h32


Synopsis :

Un homme condamné trop jeune par la maladie. La souffrance d’une mère face à l’inacceptable. Le dévouement d’un médecin (le docteur SARA dans son propre rôle) et d’une infirmière pour les accompagner sur l’impossible chemin. Une année, quatre saisons, pour « danser » avec la maladie, l’apprivoiser, et comprendre ce que ça signifie : mourir de son vivant.

 

Critiques  :

Plus qu’un film sur la fin de vie, De son vivant est un hommage flamboyant aux deux monstres du cinéma français que sont Catherine Deneuve et Benoît Magimel. (aVoir-aLire.com)

Film bouleversant (Elle)

Un film qu'on oubliera pas de sitôt, une œuvre profonde sur ce chemin vers la mort qu'on appelle la vie

Autour de situations déchirantes, Emmanuelle Bercot construit, avec le sérieux qu’on lui connaît (La Tête haute, La Fille de Brest), un mélo utile (Télérama)

 

Propos de la réalisatrice :

Et il s’est produit cette chose, ce hasard, qui n’en est évidemment pas un, c’est que le Dr Sara, qui joue le cancérologue dans le film, a assisté à une projection à New York de La tête haute. Il a fait la queue après pour me parler et me dire que ce qu’il avait vu dans le film et ce que j’avais dit dans le débat qui avait suivi, lui laissait penser que je pourrais être intéressée par le travail qu’il faisait dans les "tranchées du cancer", c’est ce terme qu’il a employé."

"Et il m’a invitée à ce qu’on se revoie pour en parler. Le bonhomme, c’est évident quand on a vu le film, est extrêmement sympathique, lumineux, chaleureux, j’ai donc été assez saisie par sa proposition. Mais surtout j’ai fait immédiatement la connexion avec mon idée de mélo, et comme je crois aux signes... Je n’ai pu retourner à New York, où il travaille, qu’un an plus tard car je terminais un autre film ; mais cette idée ne m’a jamais quittée."
Emmanuelle Bercot